Vidéo: Quand un chien se fait troller par son maître avec de la nourriture. Posté par Xouma le 31/3/2019 17:32:47. Une personne trolle son chien en lui donnant des morceaux de biscuit Vidéo (19s) : Un chien se fait troller par son maître. Sur le même sujet :

Leo n'avait absolument pas envie de prendre un bain... Leo a un an et demi et sa maman Summer Lee l'a depuis sa naissance. Il a toujours été un chien plein d'énergie et les journées sont toujours très animées avec lui ! Ce toutou est très spontané et il aime tout le monde, sauf les poulets. Étant donné que Leo est assez grand et plein d'énergie, sa maman a l'habitude de l'emmener chez le toiletteur dès qu'il a besoin d'un bon bain. Mais l'autre jour, Summer a décidé de lui donner elle-même le bain. Grosse erreur...Elle pensait que son chien allait adorerLe toiletteur avait dit que Leo était adorable quand il s'agissait de le baigner, donc Summer avait croisé les doigts pour que son chien se comporte de même pendant qu'elle lui donnait le bain. Mais bien sûr, cela n'a pas été le cas ! Le chien essaye de convaincre sa maîtresse de ne pas lui donner de bain Leo n'avait absolument aucune envie de sauter dans la baignoire, même si sa maman a bien essayé de l'amadouer. Le toutou s'est alors mis debout il fait la même taille que sa maîtresse. Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous, c'est assez impressionnant !Il a mis ses pattes sur les épaules de sa maman pour essayer de la convaincre qu'il n'avait pas besoin d'un bain. Finalement, la jeune fille a dû prendre Leo dans ses bras pour le mettre gentiment dans son bain. Au début, il n'était pas du tout à l'aise puis il s'est vite calmé quand il a réalisé que c'était agréable de prendre un bain après tout. Une fois qu'il s'est habitué, il s'est assis et il a laissé sa maîtresse le laver et le sécher. Après ça, il est sorti et il a couru comme un fou à faire des allers-retours autour de la maison ! Même si le bain s'est finalement bien passé, Summer a décidé de continuer à emmener Leo chez le toiletteur. Avec un chien aussi grand et aussi énergique que Leo, mieux vaut laisser ce travail à un professionnel ! À lire aussi La peine de mort n’existe plus, sauf pour les innocents » la campagne choc de 30 Millions d’Amis contre l’euthanasie

Le02 février 2022 à 12:35:59 : Dernière vidéo de Manuel chihuahua Taréent - page 3 - Topic Vidéo - Un Chien SUCE un Clébard qui le SUCE pendant qu'il se fait ENCULER par un autre Clébard

Un American Staffordshire Terrier Une joggeuse lâche son chien sur l’exhibitionniste qui se masturbait devant elle La scène s’est produite lundi matin à Seraing, en Belgique. Une jeune femme faisait son jogging avec son chien dans les bois de la mare aux Joncs lorsqu’un exhibitionniste s’est mis à se masturber devant elle et lui a demandé de s’approcher de lui Paniquée, la joggeuse a lâché son chien et a ordonné d’attaquer l’importun. Quelques instants plus tard, l’homme s’est attaqué à une autre femme. La police de Seraing a été chargée de l’enquête.

Lavidéo visible ci-dessus pourrait vous donner une petite indication. Dès que son maître est parti, le chien se dirige droit vers le lit sur lequel il

Labrador retriever © Wikimedia Commons C’est un cas exceptionnel que rapportent des médecins légistes uruguayens dans un article du Journal of Forensic and Legal Medicine publié en ligne le 6 février 2019. Nous décrivons le cas d’une petite fille de six ans et quatre mois qui a présenté une large déchirure anale, attribuée à la pénétration du pénis de son chien domestique », déclarent-ils. Les parents ont indiqué que leur fille jouait seule dans la cour de la maison avec le chien de la famille, un labrador retriever mâle âgé de 2 ans, quand ils l’ont entendue crier. Ceux-ci l’ont trouvée en larmes, l’enfant déclarant que le chien voulait lui monter dessus ». L’examen révèle une déchirure anale de 2 centimètres, accompagnée d’ecchymoses péri-anales. On note par ailleurs sur la paroi abdominale latérale et la face externe de la cuisse gauche de la fillette de petites plaies superficielles. L’enfant est examinée par un pédiatre, un chirurgien et un médecin légiste à l’hôpital de l’Universidad de la Repúblic Montevideo, Uruguay pour une lésion anale hémorragique. La déchirure anale est alors suturée. La culotte de la fillette est examinée. Des prélèvements anaux et vaginaux sont réalisés à la recherche de sperme ainsi qu’à des fins bactériologiques pour éliminer toute infection sexuellement transmissible. Les résultats reviennent négatifs. La fillette est soumise à une évaluation psychologique à laquelle participent un pédopsychiatre et le pédiatre qui suit l’enfant depuis sa naissance. Après plusieurs entretiens avec elle et ses parents, le pédopsychiatre conclut à l’authenticité du récit de l’enfant. La narration des faits, les symptômes physiques et les signes émotionnels, les déclarations des parents, permettent d’écarter un abus sexuel par un humain. Par ailleurs, les abrasions cutanées correspondent aux lésions qu’un chien aurait pu provoquer en plaçant ses pattes antérieures sur les flancs de l’enfant pour la maintenir. Les médecins laissent celle-ci regagner le domicile familial avec obligation d’un suivi étroit par son pédiatre. Huit jours plus tard, le pédiatre et un expert en médecine légale se rendent au domicile de l’enfant pour l’examiner à nouveau et réinterroger les parents. Ils observent alors que la lésion anale a complètement cicatrisé. Le récit de la fillette semble cohérent avec la disposition des lieux, estiment les médecins. La petite fille sera examinée par le même pédiatre pendant huit ans. Elle a aujourd’hui 14 ans et 3 mois, se porte bien et a de bons résultats scolaires. A la demande du pédiatre, l’adolescente et ses parents consentent à se soumettre à une nouvelle évaluation psychiatrique, cette fois conduite par un psychiatre n’appartenant pas à l’équipe médicale initiale. Le but est de confirmer que la lésion anale était effectivement due au pénis du chien. Les parents et l’adolescente donnent également leur accord pour que les médecins publient ce cas clinique inhabituel. La nouvelle évaluation est conduite par un pédopsychiatre expérimenté en médecine légale. Elle consiste en un entretien avec la jeune fille ainsi qu’en une analyse rétrospective de son récit et des dessins réalisés les jours suivants l’incident. L’adolescente déclare alors qu’elle a remonté sa culotte après avoir été blessée par le chien et que ses parents aient crié à l’aide. Elle indique également que le chien était facilement excité » et qu’elle-même était curieuse ». Jeu sexuel avec un animal de compagnie Tout indique que l’enfant s’est donc livrée à un jeu sexuel avec son animal. Les jeux sexuels sont fréquents à un âge correspondant au développement psychosexuel de la fillette au moment des faits », notent les auteurs. Le pédopsychiatre en a conclu que les faits tels que rapportés par l’adolescente étaient cohérents et que ce nouvel entretien avait eu une vertu thérapeutique, qualifiant une nouvelle fois comme accident la déchirure anale due à la pénétration par le pénis du chien. Ecartant donc toute possibilité qu’elle ait été consentante. Disculper des adultes suspects Ce cas pédiatrique de lésion traumatique anale causée par un chien est le troisième rapporté dans la littérature médicale. En 1999, des médecins légistes allemands ont rapporté le premier cas chez un garçon de 11 ans dont on a initialement pensé qu’il avait été victime d’abus sexuel. L’adolescent est seul au domicile familial. Il joue avec ses chiens dans la cour de la maison quand il tombe et que son postérieur se retrouve à l’air. Le berger allemand, âgé d’un an, lui monte immédiatement dessus et le pénètre. L’événement dure quelques minutes et est très douloureux. Après l’épisode, le garçon prend peur lorsqu’il remarque du sang sur ses sous-vêtements. Il appelle alors les secours. L’analyse microscopique des sous-vêtements permet d’identifier des spermatozoïdes canins. De même, l’analyse génétique de ces prélèvements détecte la présence d’ADN de chien. Ces résultats biologiques se révèlent d’une grande importance dans la mesure où ils permettent de disculper deux adultes initialement suspectés d’agression sexuelle sur mineur. La version des faits livrée aux enquêteurs par le jeune garçon ne les avait cependant pas convaincus. Quelques semaines plus tard, l’adolescent avouera au psychologue qu’il a délibérément stimulé le chien manuellement et incité l’animal à le pénétrer. Zoophilie sur Internet Plus récemment, en 2009, un pédiatre américain a rapporté le cas d’un garçon de 12 ans qui a raconté avoir été victime du comportement sexuel d’un chien. Le garçonnet avait été amené par son beau-père aux urgences pour un traumatisme ano-rectal. Les parents étaient éleveurs de bouledogues. De fait, le garçon confiera par la suite au pédiatre que l’idée de se faire sodomiser par un chien lui était venue en regardant une vidéo sur Internet. Il a délibérément provoqué un contact intime avec son chien. Après lui avoir fait prendre un bain, il l’a retourné sur le dos, puis a mis le pénis du chien dans son anus en chevauchant l’animal. L’enfant a pris peur lorsqu’il a réalisé que le sexe du chien était coincé à l’intérieur de lui. Il a alors bondi et s’est détaché de l’animal, mais au prix de douleurs et de saignements. En effet, après intromission, le pénis du chien connaît une très importante dilatation. Il faut savoir que la partie visible du sexe du chien n’est pas le pénis, mais uniquement le gland dans lequel se trouvent deux corps caverneux indépendants pars longa glandis et bulbus glandis subissant une très importante dilatation lors de l’accouplement. Le bulbus glandis peut tripler de largeur et atteindre 6 cm ou plus. Quant au pars longa glandis, il peut doubler de diamètre et s’allonger de 3 cm. Après l’intromission et la distension des deux corps caverneux, il se produit le nouage » du mâle à la femelle. Sous l’effet de la pression exercée, le bulbis grandis distendu se plaque contre la paroi de la vulve de la chienne. Les deux animaux ne peuvent alors se séparer. Ce phénomène de nouage » dure entre 5 et 45 minutes. Le pédiatre a fortement conseillé que l’enfant qui s’était livré à la sodomie avec son chien soit évalué sur le plan psychologique. Comme tous les auteurs ayant rapporté un cas similaire, ce médecin insistait sur un point une agression sexuelle spontanée d’un humain par un chien n’a jamais été décrite dans la littérature médicale, humaine ou vétérinaire, chose par ailleurs peu probable ». Ces trois cas cliniques indiquent donc qu’une lésion anale chez un enfant peut être due à la pénétration du pénis d’un chien et qu’une telle éventualité, bien que très rare, existe. Ces observations soulignent la dangerosité pour un enfant de se livrer à des jeux sexuels avec un chien domestique. En tout état de cause, après traitement médical approprié des lésions, il est impératif de procéder à des évaluations médico-légales et psychosociales afin de confirmer le mécanisme du traumatisme et exclure un abus sexuel sur enfant », concluent les médecins uruguayens. L’histoire ne dit pas ce que sont devenus les chiens. Marc Gozlan Suivez-moi sur Twitter, sur Facebook Pour en savoir plus Rodríguez Almada H, García Maggi I, Rodríguez M, Stewart J. Anal tear in a girl due to the penetration of a dog’s penis. Unusual case report. J Forensic Leg Med. 2019 Feb;62112-114. doi Goericke-Pesch S, Hölscher C, Failing K, Wehrend A. Functional anatomy and ultrasound examination of the canine penis. Theriogenology. 2013 Jul 1;80124-33. doi Blevins RO. A case of severe anal injury in an adolescent male due to bestial sexual experimentation. J Forensic Leg Med. 2009 Oct;167403-6. doi Wiegand P, Schmidt V, Kleiber M. German shepherd dog is suspected of sexually abusing a child. Int J Leg Med. 1999;112 324. doi

HvPzu. 161 3 50 45 47 191 353 91 380

il se fait enculer par son chien